Récit d’un Campagnard

2004 (Au beau milieu de sa forêt!)

A mon réveil, s’éveille la pâle lueur du soleil caché par l’épaisseur des nuages. Je sort de mes pensés, de mes draps encore si plaisant a fourvoyer. Dans une prière, une imposante sonorité s’éveille. Celle de la radio, du CB, de la télécommunication. Je me lève et je remet mon unique costume de guerre journalière. Je marche dans un grand couloir qui semble être démuni de toute finalisation et j’entrevois une lumière au bout de ce tunnel aménagé. Je sors et de la musique me viens aux oreilles se mêlent a un tempo provoqué par des bruit de pas. Viens s’ajouter a tout ça de légers scintillements métallique provenant de la cuisine. Je m’installe par terre et ferme les yeux. Un silence d’une rareté extrême se promène dans ma tête. Une plaisance épurée ramène mon système au bien être. Pourquoi cela n’arrive t’il pas plus souvent? Pourquoi je n’arrive pas a me faire emporter par le vent? Aujourd’hui mes pensées s’éloignent, je me vois ailleurs, dans un monde meilleur! Aujourd’hui mon âme s’éloigne, je me vois ailleurs, dans un monde de rêveurs!